author: Virginie Despentes
Paperback / softback
2016-03-30
Le Livre de poche
Vernon Subutex Tome 2 | Virginie Despentes
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La note du libraire : le grand roman français des années 2010
Je ne saurais que trop conseiller Virginie Despentes en général et Vernon Subutex en particulier. Vernon Subutex est selon moi le grand roman français des années 2010. Par "roman français", j'entends un roman tel la Comédie Humaine de Balzac, présentant différents personnages de la société française actuelle, de leur point de vue, sans misérabilisme, jugement ou complaisance, dans la lignée naturaliste de Zola mais dans le style résolument moderne et accessible de Virginie Despentes.
A la fois magistral et très accessible, Vernon Subutex a pour fil rouge le déclassement de Vernon, un disquaire mis sur la touche. Mais ce fil rouge ne sera finalement qu'un prétexte pour dresser le portrait, à travers ses personnages, de la France d'aujourd'hui. Et pas seulement celle des "professions libérales en quête de sens et de grands espaces" ou des "jeunes auteurs sous pression après un premier succès critique, bien que confidentiel", habituellement sur-représentés à chaque rentrée littéraire.
On retrouve Vernon, toujours SDF, et mal en point. L'ancien disquaire est déconnecté du monde réel, sans ambition ni projets. Il apprend à vivre dans la rue, au côté de Charles, un poivrot collant. Les anciens amis de Vernon continue de le traquer comme il possède l’interview inédite du rockeur Alex Bleach, enregistrée peu avant sa mort…
Une formidable suite après un premier tome salué par une presse unanime et plusieurs fois primé.
Un livre de combat porté tout à la fois par une capacité d’indignation inentamée et une empathie époustouflante – et tout sauf aimable. Nathalie Crom, Télérama.
Virginie Despentes dévoile sans complaisance notre temps en nous offrant un antidote possible. Un véritable écrivain – libre, unique, corrosive. Nelly Kaprièlian, Les Inrockuptibles.
On peut faire tourner Vernon Subutex entre ses doigts comme une pierre précieuse changeant de couleur à la lumière du jour. Marie-Laure Delorme, Le Journal du dimanche.
La note du libraire : le grand roman français des années 2010
Je ne saurais que trop conseiller Virginie Despentes en général et Vernon Subutex en particulier. Vernon Subutex est selon moi le grand roman français des années 2010. Par "roman français", j'entends un roman tel la Comédie Humaine de Balzac, présentant différents personnages de la société française actuelle, de leur point de vue, sans misérabilisme, jugement ou complaisance, dans la lignée naturaliste de Zola mais dans le style résolument moderne et accessible de Virginie Despentes.
A la fois magistral et très accessible, Vernon Subutex a pour fil rouge le déclassement de Vernon, un disquaire mis sur la touche. Mais ce fil rouge ne sera finalement qu'un prétexte pour dresser le portrait, à travers ses personnages, de la France d'aujourd'hui. Et pas seulement celle des "professions libérales en quête de sens et de grands espaces" ou des "jeunes auteurs sous pression après un premier succès critique, bien que confidentiel", habituellement sur-représentés à chaque rentrée littéraire.
On retrouve Vernon, toujours SDF, et mal en point. L'ancien disquaire est déconnecté du monde réel, sans ambition ni projets. Il apprend à vivre dans la rue, au côté de Charles, un poivrot collant. Les anciens amis de Vernon continue de le traquer comme il possède l’interview inédite du rockeur Alex Bleach, enregistrée peu avant sa mort…
Une formidable suite après un premier tome salué par une presse unanime et plusieurs fois primé.
Un livre de combat porté tout à la fois par une capacité d’indignation inentamée et une empathie époustouflante – et tout sauf aimable. Nathalie Crom, Télérama.
Virginie Despentes dévoile sans complaisance notre temps en nous offrant un antidote possible. Un véritable écrivain – libre, unique, corrosive. Nelly Kaprièlian, Les Inrockuptibles.
On peut faire tourner Vernon Subutex entre ses doigts comme une pierre précieuse changeant de couleur à la lumière du jour. Marie-Laure Delorme, Le Journal du dimanche.